The sea wants to kiss the golden shore.
The sunlight warms your skin.
All the beauty that's been lost before, wants to find us again.
I can't fight you anymore; it's you I'm fighting for.
The sea throws rocks together but time, leaves us polished stones.
We can't fall any further if, we can't feel ordinary love.
And we cannot reach any higher, if we can't deal with ordinary love.
Are we tough enough ?
Sac en cours d'élaboration. C'est facile de penser que cette année, où que j'aille, ce sera plus humide et froid que d'habitude. Ça tombe bien grâce au confinement qui m'a permis de faire quelques économies, j'ai investi.
Donc, dans le sac cette année, il y aura :
Ya plus qu'à...
Premier titre à tourner sur la platine en rentrant le soir.
Assez rongé son frein. Envie d'aller dévorer l'horizon, de s'épuiser dans les bruyères, de se brûler de soleil et de vent.
Ce n'est plus de l'impatience, ce n'est plus un besoin, c'est une nécessité. Une carence de nourriture, de couleur, de solitude, de plaisir improbable, de douleur, de surprise.
Alors au départ, je n'avais pas percuté que j'avais pris des tickets pour l'expo de la photographe-cinéaste qui a fait les pubs Cacharel mièvres-édulcorées-pastel-évanescentes des années 90. A priori négatif dans la première salle. Mais dès le second mur, bam ! Sarah Moon captive par la matière qui déborde du cadre.