"Dans une île perdue de l'océan
Marguerite écrit, Marguerite vit
Elle revient en France de temps en temps
Porter l'habit vert du printemps "
"Et si un jour
Tu t'éloignais de moi
Vers un avenir radieux
Vers ces chemins
Où jamais plus tu ne verras
Ton reflet dans mes yeux
Jamais
Jamais
Jamais
Je n'oublierai
Les promesses
Les regrets
Ta caresse"
Le contraste parfait.
Les émigrés d'Alela Diane sont comme la mère et son enfant du clip. Mêmes interrogations, même amour, même tendresse.
Louis Soutter était-il fou ?
Etait-il brut ?
A-t-il vu avant d'autres le monde qui s'affaissait ?